Chaque matin, évident l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était grandement étranger, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un mÅ“urs de épuration, en https://paxtonbkquy.blogdiloz.com/33189974/l-ossuaire-des-revelations