Dans l’enceinte subtilement hermétique du foyer d’appels, les techniciens continuaient à répondre aux sollicitations sans identités, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre empressement perspicace et indigence diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels par une interface adaptative, ajustée à son profil psychique. Aucun contact visuel, https://charlieblrvy.ampblogs.com/le-noyau-d-appels-des-disparus-70669443