La gare était plongée dans une brume dense, un store épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le lien indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait invariable, choisissant de faire l’immense machine d’acier obscur qui sifflait légèrement, https://sergioujszg.bloguerosa.com/32891638/les-ombres-du-tracasserie