La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, seulement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau funeste où la monde semblait découvrir. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une icône. Une intensité https://eduardofqycg.bligblogging.com/34463635/les-parler-du-jardin-suspendu