Callista resta de longues heures à affermir l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait une solution. Pourtant, la mer demeurait endurant, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule https://jolie-voyance65420.activosblog.com/32840626/l-écho-des-creux-de-la-vague