La jungle semblait avoir avalé le palais, l’enveloppant dans un subterfuge de lianes et de coeurs tordues. Entre les troncs d’arbres immensurables, des colonnes effondrées surgissaient çà et là, vestiges d’une architecture oubliée. Les dalles de pierre, à la renaissance créer avec étude, étaient aujourd'hui craquelées par l’humidité et recouvertes https://codyiwlzm.newbigblog.com/39957127/le-accoutumance-du-miroir-d-ivoire